L'enthousiasme d'un message et d'une photo troublante,
Le sac de remplit de nos mains sûres et fermes, 
Mon esprit concentré repense à l'isotherme, 
J'en suis certain ma nuit sera préoccupante.

Dans le petit matin, d'un pas vif et borné,
La Belle se découvre au détour d'un sapin,
Une simple excitation, nous sommes subjugués, 
Chabanals, Reine des glaces de nos massifs alpins.

Pour première longueur, une jupe aux dentelles,
Et en toute innocence, Thomas longe ses hanches.
A moi de prendre la tête, mon coeur naïf flanche,

Cette fois la taille est fine, pure et exceptionnelle.
Pour dernière longueur, poitrine, monts et merveilles, 
Dans un baiser suprême, nous rallions le soleil.

Ce rêve tant souhaité, maintenant réalité, 
Ephémère, la glace devient amante d'un jour,
Mais je reviendrai pour, ses courbes échancrées, 
Femmes et montagnes partagent un même amour.

Où est ce qu'on va ?

Où est ce qu'on va ?

Que dire...

Que dire...

Thibaut dans la première longueur, la jupe de la reine.

Thibaut dans la première longueur, la jupe de la reine.

Au loin la neige se dépose.

Au loin la neige se dépose.

Thomas en deuxième longueur, les hanches de la reine.

Thomas en deuxième longueur, les hanches de la reine.

De belles formes.

De belles formes.

J'attaque la taille de la reine...

J'attaque la taille de la reine...

... une troisième longueur raide et exceptionnelle.

... une troisième longueur raide et exceptionnelle.

Thomas profite de l'ambiance.

Thomas profite de l'ambiance.

Thibaut s'occupe de la quatrième longueur, la poitrine de la reine.

Thibaut s'occupe de la quatrième longueur, la poitrine de la reine.

Un dernier baiser.

Un dernier baiser.

Heureux !

Heureux !

Retour à l'accueil